• On enregistre des manifestations d’O.V.N.I. un peu partout dans le monde. Certains lieux semblent cependant particulièrement privilégiés dans ce domaine.


    C’est le cas d’une partie de l’Australie méridionales, ou le nombre d’observations est fantastique depuis plus de 50 ans, et personne ne parle, pas d’ufologue sur le terrain ?

    Sur le détroit de Bass, il ne se passe pas une journée ou l’on voit des sorties et rentrées dans la mer.

    Au point qu’en se demande à présent si les extraterrestres n’auraient pas établi une grande base secrète dans la mer.

    Ainsi à Burra, petite localité situé à 120 km au Nord d’Adélaïde, vit un garçon, qui à maintenant 62 ans, qu’on appelle depuis plus de 30 ans « l’homme de l’espace » : il raconte en effet avoir été contacté par certains extraterrestres qui l’auraient fait monter à bord de leur vaisseau, et entrainé pour un voyage dans l’espace.

    Son récit parait peu vraisemblable.

    Mais il est certain, par contre, qu’un couple de la même région a dû se résoudre à vendre les terres de sa ferme car les bêtes de l’élevage dépérissaient pour des raisons mystérieuses.

    Les environs d’une autre petite cité, Clare, sont désormais aussi célèbres pour leurs OVNI que pour leurs vignobles.

    Au point d’ailleurs que les habitants finissent par se demander s’il n’existe pas dans leur région, un élément précis qui attire tout particulièrement ces engins.

    Peut-être s’agit-il des mines de cuivre qui sont nombreuses dans la région.

    Un spécialiste des OVNI, Keith Basterfield, qui signale que si ces mines ne sont plus exploitées depuis longtemps, elles portent pourtant des traces de visites récentes et inexplicables.

    Et il affirme par la même occasion persuadé de l’existence d’une base secrète d’extraterrestres à très grande profondeur (entre 1500 m à 2000m)

    Voilà d’ailleurs qui permettrait peut-être de comprendre ce qui produit les bruits et les lueurs étranges qui se manifestent depuis 50 ans, sans qu’on parvienne à savoir d’où ils viennent.

    Certains récits faits par ceux qui en ont été les témoins sont remarquables.

    Ainsi celui de Deborrah Garrand et son petit frère Phillip : les deux enfants ont vu passer à une cinquantaine de mètres d’eux une étrange lueur qui est ensuite allée disparaître derrière une rangée d’arbres.

    Leur témoignage donna lieu à une enquête des plus sérieuses qui mit en évidence le fait que là où les enfants affirmaient avoir vu l’engin, s’était creusée dans le terrain une empreinte circulaire comme celle qu’aurait pu laisser un appareil gigantesque et très lourd. Une disparition de terre d’argile avait disparu.

    Un autre témoignage encore, celui d’une mère de famille poursuivie sur plus de deux kilomètres et jusque chez elle par un objet brillant aux contours mal définis.

    Ou celui d’une autre femme qui vit trois sortes de soucoupes se pourchasser dans le ciel.

    Mais le cas le plus étrange est sans aucun doute celui de cet homme dont on retrouva le cadavre en 1948 sur une plage quelque-part au Sud d’Adélaïde, et dont nul ne sait encore à ce jour, d’où il venait.

    Il ne fut jamais identifié

    On ne parvint pas non plus à déceler la cause de sa mort.

    Il portait sur lui un exemplaire des ouvres d’Omar Kayyam, le prophète musulman, au milieu duquel était plié un message codé qu’on ne put jamais déchiffrer.

    Le morceau d’une page avait été arraché, et glissé dans sa poche, qui portait ces mots « Tamam Shud » qui signifient « la fin ». Certains ufologues ne sont pas loin de penser qu’il pourrait s’agir d’un extraterrestre.

    Il n’en demeure pas moins vrai que le mystère le plus complet entoure encore des évènements qui se produisent régulièrement a proximité d’Adélaïde, encore en 2007 ? Et personne ne s’en préoccupe.


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